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Qu’est-ce que le collectif dit « laïque » ?

Il fut un temps où le Grand Orient de France invitait les associations laïques au 4éme étage de la rue Cadet. C’était informel et chaque association y venait sans être liée.

Puis, une volonté impérialiste s’est faite jour et certains se sont pris pour Charles Quint et son Empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais. Certains ont substitué à la volonté de rassembler ce qui était épars une volonté de disperser ce qui était uni, et ce, pour des fins politiciennes de bas étage.

D’un cadre informel et unitaire, on est ainsi passé à une volonté centralisatrice au service d’objectifs partisans de quelques-uns.

Ce collectif « laïc » n’est nullement représentatif, si on met de côté les Obédiences maçonniques qui y participent (pas toutes et de loin), les autres associations ne représentent rien. La Fontaine l’avait déjà dit : « 10 grenouilles aussi gonflées soient-elles ne feront jamais un bœuf ».

De plus, le tirage s’agrandit entre les Obédiences maçonniques dont la plupart en ont assez que le GODF décide pour toutes les Obédiences et se pose en tenant d’une certaine « régularité maçonnique » qui n’ose pas dire son nom.

La direction actuelle du GODF est dans un syndrome de retour à la Maçonnerie impériale soumise au Pouvoir et confite en dévotion. « Emmanuel Macron est grand et le Collectif laïc et le GODF sont ses Prophètes ». On essuie, on nettoie, on cire et on lustre les pompes du Macronisme. « Oui, notre bon maître, comme il vous plaira Seigneur » Et c’est comme cela, matin, midi et soir ; en gélules, en pommade et en suppositoires.

On n’est même pas dans le « soutien critique » aux projets gouvernementaux, c’est le zèle renouvelé du nouveau converti. La direction du GODF a même osé proposer aux Obédiences maçonniques une déclaration commune sur la loi dite « Séparatisme » où l’on pouvait lire : « Nous voyons dans le présent projet des mesures courageuses et cohérentes que les forces laïques de notre pays attendaient. Nous nous réjouissons de cet ensemble de mesures concrètes dont nous espérons l’aboutissement, et nous souhaitons qu’un consensus national permette de les adopter rapidement. »

Comme allégeance au pouvoir, on peut difficilement faire pire. Les autres Obédiences ont refusé de donner suite, tellement c’était un alignement sur le pouvoir.

Les véritables républicains laïques furent, sous la IIIème République, les constructeurs d’un édifice démocratique : liberté de la presse, liberté syndicale, libertés des communes, libertés des associations, liberté de conscience, actions dans lesquelles le GODF avait pris toute sa part.

Et depuis quelques années, la direction du GODF prête la main à une remise en cause fondamentale de la laïcité et de la liberté des associations. Elle soutient le contrat d’engagement républicain qui est une destruction de la liberté associative et qui est l’avènement d‘une idéologie d’État.

Quant à Eddy Khaldi, il passe les plats au macronisme sans aucun état d’âme. Il est là pour servir. C’est la bonne du curé d’Anny Cordy.

Piètre politique, piètres gens.

Herbert Lespinasse

Les Macrono-collabos

Le ban et l’arrière-ban de la réaction macroniste, tous dévoués à la chasse aux musulmans, viennent de publier un « appel » contre la FCPE (Fédération historique des parents d’élèves) pour « dissoudre sa direction« , pour reprendre l’expression de Jean-Christophe Cambadélis à propos de l’UNEF, dont il s’est servi pendant des années pour assouvir ses propres intérêts.

Il est aussi signataire de cette lettre de dénonciation. Les bonnes habitudes ne se perdent décidément pas. Il n’y a pas de mauvaise cause dans laquelle il ne soit pas, à commencer toujours par celle de ses intérêts. Il doit être à la recherche d’une nouvelle place à prendre, en ces temps d’incertitude électorale.

Une nouvelle fois, c’est une association traditionnelle de la laïcité qui est mise en cause, parce qu’elle refuse de se plier aux injonctions du pouvoir macroniste.

Après la Ligue des Droits de l’Homme, la Ligue de l’Enseignement, l’UNEF, c’est au tour de la FCPE d’être attaquée. On ne peut oublier non plus l’insupportable campagne contre l’Observatoire de la laïcité. Les collabos-macronistes sont des loups pour l’Homme et ils chassent en meute.

Tout ce qui n’a pas le petit doigt sur la couture du pantalon pour participer à la campagne xénophobe de la chasse aux musulmans, ou supposés tels, est dans le collimateur du pouvoir et de ses sicaires.

Et comme toujours, quand la République décline, les Collabos sont là pour en tirer un petit profit personnel, ils se pressent, ils accourent pour la curée et la mangeoire. Comme Gambetta l’avait noté en 1870 « Quand la patrie baisse, le Jésuite monte. »

Mais contrairement à 1940, où étaient publiées les listes de résistants et de Francs-Maçons à dénoncer et à réprimer ; là on a tout de suite la liste des Collabos qu’il faudra faire passer devant les commissions d’épuration. Après 1940, il y a toujours 1944.

A l’Orient, rien de nouveau

Il est bien navrant que des « dignitaires » maçonniques se prêtent à de telles opérations. A croire que les Grands Maitres du GODF sont comme les albums des Rolling Stones « Toujours pire que le précédent, toujours meilleur que le prochain ».

De quel droit, ces ingérences permanentes dans la vie démocratique des associations ? Qui donne le droit et la légitimité à ces inquisiteurs au petit pied et au grand appétit de juger les autres ? Ce sont les condottieres du macronisme.

Ils auront beau dire, ils auront beau faire

La précédente campagne contre la FCPE à propos de son affiche électorale n’a eu aucun effet. Non seulement, la FCPE a maintenu son score électoral aux élections des Conseils d’Ecole, mais cela l’a consolidée.

A trop énerver les laïques, beaucoup risquent de se retrouver Gros Jean comme devant.

Les masques tombent et les hypocrites apparaissent au grand jour.

Daniel Schrameck

Lettre d’un directeur d’école du 93 au Président de la République

Objet : Re: Lettre ouverte au Président de la République par la Libre Pensée…à propos du projet de loi sur le « séparatisme »

Bonjour,

Excellente lettre et excellent travail.

En effet, nous ne laisserons pas ainsi diviser, fracturer la société française et plus particulièrement les classes populaires par une nouvelle campagne islamophobe de stigmatisation des populations musulmanes ou perçues comme telles qui sont systématiquement visées dans les propos des ministres et au plus haut sommet de l’État.

Personne n’est dupe : ce sont nos concitoyennes et concitoyens de confession musulmane qui sont visés par ce projet de loi. Les exemples donnés dans les médias se réfèrent systématiquement à l’Islam, aux musulmanes et aux musulmans.

Ce projet de loi vise à désigner un « ennemi intérieur ».

Si l’on en croit les propos du ministre de l’Intérieur il s’agit même de contrôler l’expression du dogme. Si des expressions religieuses contreviennent au droit, l’État dispose déjà du dispositif législatif pour agir mais il n’a pas à se mêler du dogme d’aucune religion.

Hérité du racisme colonial, ce projet est une nouvelle expression d’un débat public saturé de fantasmes xénophobes : l’usage du mot « ensauvagement » répété à l’envie par le ministre de l’intérieur, la monstrueuse mise en scène raciste de la députée Danièle Obono dans Valeurs actuelles, la « plaisanterie » de Sarkozy, ancien Président de la République, assimilant « singe » et personnes noires, les humiliations publiques répétées de femmes qui portent le foulard… tout cela n’est pas le domaine réservé de l’extrême-droite.

Récemment encore, des député·e·s ont exprimé, à l’égard de la Vice-Présidente de l’UNEF, des exigences qui outrepassaient les obligations légales et mettaient en cause des droits reconnus par le principe de liberté de conscience. Alors qu’elle s’exprimait au sujet des conditions étudiantes difficiles à cause de la crise sanitaire, certain·e·s ont préféré voir son voile avant ses valeurs et ont tenté de l’humilier.

Si l’État se doit d’être neutre et laïque, c’est justement pour permettre à la citoyenne ou au citoyen de pouvoir être libre d’exprimer ses idées à partir du moment où cette expression n’empiète pas sur la liberté d’autrui.

Cordialement,

Ahmed AIT EL MADANI, Directeur d’École dans la Seine-Saint-Denis

Éditorial du Délégué laïque n°6

Attaques contre la loi de 1905 : Les menaces se précisent, soyons prêts ! Tous ensembles pour défendre la laïcité !

Le lundi 24 février 2020, monsieur Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, a invité des associations laïques place Beauvau pour une réunion.

Avec la même « surface » qu’une précédente réunion le 8 janvier 2019. Il s’agissait alors d’écouter l’annonce de la modification de la loi du 9 décembre 1905 de Séparation des Eglises et de l’Etat. Continuer la lecture de « Éditorial du Délégué laïque n°6 »

Laïcité. Appel du 9 décembre 2019 Texte de la Ligue des droits de l’Homme, de la Ligue de l’enseignement et de la Libre pensée

Notre inquiétude est grande. Depuis maintenant de trop nombreuses années, la laïcité est l’objet de remises en cause qui en faussent le sens et la portée. Ses plus anciens adversaires l’utilisent pour exclure une partie d’entre nous et en font l’étendard de leur haine raciste tandis que certains en contestent les fondements et veulent enfermer chacun dans des identités figées. D’autres enfin, y voient l’occasion de mettre en avant le fantasme d’une société amputée de toute diversité. Continuer la lecture de « Laïcité. Appel du 9 décembre 2019 Texte de la Ligue des droits de l’Homme, de la Ligue de l’enseignement et de la Libre pensée »

Du Serment de Vincennes à la défense de la loi de 1905, appel de la Libre Pensée

Comme en 1960 contre la loi Debré, il faut rassembler le mouvement laïque et les laïques Pour s’opposer à toute modification de la loi de Séparation des Églises et de l’État du 9 décembre 1905 par le gouvernement Macron/Philippe !

Lorsque, en 1959, la loi Debré institutionnalise le financement public des  écoles privées dans le cadre de contrats simples ou d’associations, les laïques descendent dans la rue par centaines de milliers et se rassemblent sur la pelouse du bois de Vincennes le 19 juin 1960.

400000 personnes représentant 10 813 697 citoyens pétitionnaires prononcent le Serment de Vincennes :

« Nous faisons le serment solennel : de manifester en toutes circonstances et en tous lieux notre irréductible opposition à cette loi contraire à l’évolution historique de la Nation ; de lutter sans trêve et sans défaillance jusqu’à son abrogation ; et d’obtenir que l’effort scolaire de la République soit uniquement réservé à l’École de la Nation, espoir de notre jeunesse. »

rassemblement de Vincennes

Cette pétition fut signée par la majorité du corps électoral de cette époque, massivement signée aussi dans les départements qui restent toujours soumis au Concordat de 1801 et au statut clérical scolaire d’exception d’Alsace-Moselle. La loi Debré a été une des attaques principales contre la loi de 1905, aujourd’hui menacée, c’est pourquoi la Libre Pensée continue à revendiquer l’abrogation de la loi Debré.

Cette campagne laïque fut menée par la Ligue de l’Enseignement, la FCPE, les DDEN, le SNI et la FEN regroupés dans le CNAL et soutenue par la Libre Pensée, l’Union rationaliste, la LDH, la CGT, la CGT-FO , l’UNEF, le Grand Orient de France, le Droit Humain, la Fédération nationale des Combattants républicains et les partis PSA, UGS, Parti socialiste SFIO, Parti Radical et Radical-Socialiste et le PCF.

Pour le 60e anniversaire du Serment de Vincennes du 19 juin 1960, La Libre Pensée propose à l’ensemble du mouvement laïque une manifestation nationale ou un rassemblement national

Pour défendre la loi de 1905 !

Après les provocations au Collège des Bernardins, où Emmanuel Macron a déclaré « vouloir réparer le lien entre l’Église et l’État »

Le lundi 18 mars 2019, le Président de la République recevait à l’Élysée un panel de plusieurs dizaines de personnalités. Selon Le Monde électronique avec Reuter du 18 mars 2019 à 23h53 : « Emmanuel Macron a annoncé lundi 18 mars qu’il ne souhaitait pas « changer » la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, fermant la porte à un amendement de ce texte qui était jusque-là envisagé, mais qui suscitait l’inquiétude des responsables des cultes en France.

« Ma vision est claire c’est 1905 et rien que 1905 », a déclaré le chef de l’État lors d’un débat avec une soixantaine d’intellectuels à l’Élysée. « Je ne souhaite pas qu’on change la loi de 1905 et ce qu’elle représente et ce qu’elle permet de préserver. » « Je veux que chacun puisse croire ou ne pas croire librement, que dans le cadre de sa foi, ça puisse être aussi absolu qu’il ait besoin de la vivre mais je demande au même citoyen de respecter absolument toutes les règles de la République », a-t-il ajouté. »

La Libre Pensée a donc immédiatement écrit le 19 mars 2019 au Président de la République pour lui demander : « C’est pourquoi, nous vous demandons, par la présente, de bien confirmer qu’il n’y aura aucune modification législative de la loi de 1905. Pour autant, si tel était le cas, ce dont nous nous réjouirions, cela veut-il dire qu’il n’y aura pas non plus de modifications réglementaires touchant à l’application des principes de cette loi fondamentale et fondatrice de la laïcité dans notre pays ? »

A ce jour, le Président de la République n’a toujours pas répondu alors que chacun sait qu’il n’est pas avare en communication.

Pourquoi ce silence après tant de bruit et de fureur ? Pourquoi, s’il a renoncé à modifier la loi, n’apporte-t-il pas tous les apaisements nécessaires ?

La Libre Pensée défend la loi de 1905 avec force et vigueur. Elle se félicite de la réunion unitaire des associations laïques, à l’initiative de la Ligue de l’Enseignement le 22 novembre 2018, à laquelle elle a participé et qui a débouché sur une déclaration unitaire de 40 associations, obédiences maçonniques et des syndicats pour défendre la loi de 1905 ; d’avoir ensuite organisé et tenu des dizaines de rassemblements devant les préfectures le 9 décembre 2018 pour dire aux Préfets « Ne touchez pas à la loi de 1905 ! » ; de s’être adressée ensuite au mouvement laïque et d’avoir réuni ensemble le 28 février 2019 : Fédération nationale de la Libre Pensée, Laïcité-Liberté, CNAFAL, Union rationaliste, Ligue de l’Enseignement, SUD-Education, Grand Orient de France, Ligue des Droits de l’Homme, Confédération Force Ouvrière, FSU et SNES, Mouvement de la Paix, avec les excuses du SE–UNSA.

Aussi le Congrès national de la Libre Pensée, réuni du 26 au 30 août 2019 à Alizay dans l’Eure, a-t-il décidé de s’adresser au mouvement laïque, aux syndicats, aux associations philosophiques, aux militants de la laïcité, à toutes celles et à tous ceux qui se réclament de la défense et de la pérennité de la loi du 9 décembre 1905 de Séparation des Églises et de l‘État :

Ne faut-il pas préparer dès maintenant  une marche nationale à Paris ? Ne touchez pas à la loi de 1905 !

La Ligue des Droits de l’Homme, la Ligue de l’Enseignement et la Libre Pensée ont rendu public le 9 décembre 2019 (date anniversaire de la loi de 1905) un appel signé par 53 associations, syndicats et partis qui déclarent : « C’est pourquoi, nous réaffirmons notre attachement à l’esprit et à la lettre de la loi de 1905 et à sa conséquence, la neutralité de l’État et des services publics… C’est enfin pourquoi nous nous engageons à respecter et faire respecter ces principes et que nous appelons les pouvoirs publics à s’engager dans la même voie et à être irréprochables en la matière. »

Diviser le mouvement laïque serait criminel et ne favoriserait que les menées antilaïques du gouvernement. Il est de la responsabilité de tous et de chacun de favoriser l’unité la plus large pour faire échouer toute modification de la loi du 9 décembre 1905 de Séparation des Églises et de l’État.

Vincennes, le 3 janvier 2020

La Fédération Nationale des DDEN à la croisée des chemins (suite)

Mesdames et messieurs les DDEN: changer vos missions sous peine de radiation!”

Dans un article paru dans le Délégué Laïque N°3, nous avions pu lire les risques sérieux de remise en cause des missions des DDEN telles qu’elles sont définies dans plusieurs articles du Code l’Education. (1) Continuer la lecture de « La Fédération Nationale des DDEN à la croisée des chemins (suite) »

Le nouveau DSDEN de Seine-Saint-Denis, Antoine Chaleix, engage les démarches pour la radiation des 7 DDEN de Sevran

Le nouveau DSDEN de Seine-Saint-Denis a décidé, par un courrier daté du 21 octobre 2019, pendant les congés d’automne, d’engager une procédure de radiation à l’encontre de chaque DDEN de Sevran.
Il s’agirait de fait d’une dissolution pure et simple de la délégation sevranaise des DDEN.
Sur quoi s’appuie le DSDEN pour une telle démarche unique dans les annales de l’EducationNationale ?
Il s’appuie sur deux courriers du 8 mai 2018 et du 21 février 2019 de l’IEN de la circonscription, Mr Régis Roginski, et sur une demande de radiation formulée le 25 mars 2019 par le Président de l’Union Départementale des DDEN, Mr Jean-Marc Minetto Continuer la lecture de « Le nouveau DSDEN de Seine-Saint-Denis, Antoine Chaleix, engage les démarches pour la radiation des 7 DDEN de Sevran »

La délégation de Sevran aux DDEN du 93

Cher(e)s collègues,

Au nom des 7 DDEN de la délégation de Sevran, je vous fais parvenir la lettre envoyée par le nouveau DSDEN, pendant les congés d’automne, à chacun des 7 DDEN.

Mr Antoine Chaleix n’a rien trouvé de plus urgent à cette rentrée que de nous informer qu’il engageait les démarches pour permettre notre radiation demandée par Mr Jean-Marc Minetto, Président de l’Union Départementale, mandaté par 8 membres du CA (sur 17). Continuer la lecture de « La délégation de Sevran aux DDEN du 93 »

Comité de suivi des 27 écoles publiques de Sevran – Communiqué n°26

Les visites d’école par les DDEN ont été effectuées. Tous ont pris connaissance des travaux éffectués et de ceux en attente. Le cahier n°4 est d’ores et déjà en préparation. Les conseils d’école se sont tenus recensant très fidèlement les demandes correspondantes aux nécessités de l’Ecole laïque, la même pour tous les enfants de France. Pour peaufiner ce cahier N°4 qui sera envoyé, comme d’habitude aux Préfet, DASEN et Maire de Sevran, il manque quelques comptes-rendus de conseils d’école. Il sera envoyé, dès le début Janvier 2020, avec de nouvelles demandes d’audience. Celles du début de l’année scolaire n’ont pas été honorées par le Préfet et le DASEN, tous les 2, nouveaux dans la Seine Saint Denis. Continuer la lecture de « Comité de suivi des 27 écoles publiques de Sevran – Communiqué n°26 »