Réponses de la Libre Pensée aux calomnies d’Eddy Khaldi, Président de la FN DDEN

(Circulaire de la Fédération nationale de la Libre Pensée, transmise par un DDEN libre penseur)

Chers camarades,

La situation semble tendue à l’intérieur de la Fédération nationale des DDEN depuis qu’Eddy Khaldi en est devenu Président.

Nous avons toujours entretenu des rapports cordiaux avec les Présidentes et Présidents des DDEN au cours des années passées, il faut dire que cette association très ancienne a toujours revendiqué l’abrogation de la loi Debré, ce qui nous rapprochaient indubitablement. Désormais, sous la houlette de ce nouveau Président, les relations ne sont plus bonnes.

Si cela pouvait nous rassurer, il en est de même avec la plupart des autres associations laïques, notamment les composantes du CNAL. C’est dire…

Plusieurs Fédérations départementales nous ont interrogés sur une circulaire nationale des DDEN qui s’en prend violemment à la Libre Pensée. Voici ce que nous avons répondu. Vous pouvez naturellement communiquer cette réponse à qui de droit :

Il semble qu’il y ait un grand malaise dans les DDEN depuis qu’Eddy Khaldi est devenu Président. Il y a comme un vent de normalisation à l’intérieur de la Fédération nationale des DDEN. Tous ceux qui ne sont pas d’accord avec la nouvelle orientation sont bousculés pour les mener à la porte.

Faisons un peu d’histoire. Eddy Khaldi était le monsieur « Laïcité » du CNAL, il en a couvert tous les reniements. C’est ainsi que dans ses livres, le seul reproche qu’il fait à la gauche au gouvernement, c’est son silence. Lois Rocard, Chevènement, Jospin, Accords Lang/Cloupet : des silences ? Par ailleurs, il a écrit à plusieurs reprises que la loi Debré devait être appliquée dans son esprit originel et qu’elle n’était donc pas une loi antilaïque.

Les DDEN ont toujours été pour l’abrogation de la loi Debré, on comprend qu’il y ait comme un malaise aujourd’hui en son sein.

Eddy Khaldi a fait partie de l’équipe qui a soutenu la candidature de Manuel Valls pour les élections présidentielles. Avec le succès qu’on connait. Le fonds de leur ligne commune est : les seuls responsables des atteintes à la laïcité, ce sont les musulmans. Eddy Khaldi est, comme Valls et bien d’autres, tout à fait Macron-compatible. Il fait partie de ceux qui  attaquent sans cesse l’Observatoire de la laïcité, pour mieux encenser Jean-Michel Blanquer et son « Comité des Sages ».

Il y  a des années, en Drome-Ardèche, Eddy Khaldi avait accusé publiquement la Libre Pensée d’avoir trahi la laïcité et de s’est ralliée à la liberté religieuse contre la liberté de conscience. Lui qui a fait sa carrière dans l’enseignement privé catholique, il devrait pourtant  connaître la différence.

Il est un des artisans de la division des laïques en étant un des initiateurs de l’Appel des 113, publié un mois après celui des 38 principales organisations et syndicats en défense de la loi de 1905. Il leur faut diviser le mouvement laïque pour torpiller la défense de la loi de 1905.

Cela entraine visiblement des réactions chez les DDEN. A en croire une récente publication, « Le Délégué laïque », un nombre conséquent s’organise pour lutter contre la dérive qu’impulse Khaldi.

Nous n’avons aucune nostalgie du CNAL, mais force est de constater que toutes ses composantes (SE UNSA, UNSA, LDE, FCPE) sont violemment en opposition avec Khaldi. La Libre Pensée n’a rien à voir dans ce conflit.

Mais il faut désigner un bouc émissaire, cela sera donc la FNLP.

Quelles sont les preuves : le site internet qui héberge « Le Délégué laïque » est un site qui héberge aussi la FNLP et l’AILP. Comme des dizaines d’autres. Ce n’est pas une preuve, c’est une vaste rigolade. Comme « Le Délégué laïque » est sur internet et marche à l’électricité, tous les abonnés à l’EDF sont coupables ! Il n’y a pas d’autres « preuves » avancés par Khaldi. Ce n’est pas mince, c’est insignifiant.

Nous avons donc eu la curiosité d’aller voir le site qui hébergeait le site de la FN DDEN. Avec qui cohabite Eddy Khaldi ? : Les Forces démocratiques de libération du Rwanda, groupe accusé de génocide. Il y a aussi l’Elysée (Présidence de la République), 14 sociétés du CAC 40, 155 des 1 000 grands groupes européens, 20 des 500 grands groupes mondiaux.

Faut-il en conclure que la FN DDEN est aux mains des génocidaires, de l’Elysée et des groupes capitalistes ? Si l’on suit la logique de Khaldi, sans doute. Mais cette vision policière de l’Histoire n’est pas la nôtre.

Mais il faut désigner un coupable : la FNLP qui agit pour l’unité des laïques contre la division orchestrée par Khaldi et consorts.

Si cela était la FNLP qui était derrière « Le Délégué laïque », pourquoi les centaines, peut-être des milliers, de DDEN qui reçoivent cette revue internet, n’ont jamais rien reçu envoyé par la FNLP ? Si la FNLP avait un fichier aussi important de DDEN, pourquoi n’a-t-elle jamais envoyé à ces DDEN le moindre communiqué ? La  réponse est simple : parce que la FNLP n’a pas ces adresses et qu’elle les ignore. Elle n’est donc pour rien dans cette affaire.

Pour l’instant, nous n’avons pas l’intention de polémiquer publiquement sur les accusations de Khaldi. Nous ne voulons pas accroitre la division des laïques. Mais nous attendons, sereins et joyeux, notre assignation au tribunal, puisque Khaldi nous en menace. Il faudra alors qu’il fasse la preuve de ces dires et là, on va rire quelque peu. Le résultat est obligatoire : il sera débouté. Et là, nous l’attaquerons pour dénonciation calomnieuse et on gagnera à tous les coups.

Il est bien triste de constater une telle dérive d’un responsable d’une association qui a été quelque chose dans le mouvement laïque. Nous ne confondons pas bien sûr son Président avec la grande masse des DDEN qui, chaque jour au quotidien, défendent du mieux qu’ils peuvent la laïcité de l’Ecole républicaine.

Amitiés libres penseuses.

Le Bureau exécutif de la Libre Pensée

La République contre son Ecole ?

Ce second ouvrage d’Eddy Khaldi reprend largement son premier. Il est de la même veine : sous une apparence documentée, l’auteur a de curieux trous de mémoire dès qu’il est question de la « Gauche au pouvoir ».

D’abord, le titre est bien curieux. Comment la République, prise au sens générique du terme, pourrait être contre « son » Ecole ? Que la Ve République, antidémocratique et antilaïque soit contre l’Ecole publique, c’est une évidence. Mais la Ve République n’engage nullement le concept de République, au contraire, elle en est l’antinomie.

Inventif

En page 52 de l’ouvrage, on apprend, un peu étonné, que « les socialistes refusent donc (en 1978) un dualisme scolaire qui consacrerait l’installation permanente de deux systèmes parallèles et concurrents, tous deux financés par l’Etat ». Si cela avait pu être vrai, on s’en serait félicité, et même, on aurait pu le voir à partir de 1981. Mais comme sœur Anne, on n’a rien vu venir. On a même vu strictement le contraire.

Ce curieux strabisme politique conduit l’auteur, en page 37, à décrire une situation étonnante sur l’action du Parti Socialiste en matière de laïcité : « La gauche, par une atonie qui fait figure de complaisance contribue par son invraisemblable passivité – connivence ? – à ce démantèlement. Son silence conforte la collusion d’intérêts libéraux et cléricaux pour séparer l’école de l’Etat ». 

Passivité, connivence, silence, l’action des ministres socialistes au pouvoir ? Loi Rocard, Jospin, Accords Lang/Cloupet : c’est là plus que de la passivité, c’est la guerre ouverte contre l’Ecole laïque. On est en plein Tartuffe : cachez ce sein antilaïque que je ne saurais voir !

De même, en page 103, l’auteur fustige la disparition de la formation des enseignants du second degré dans les IUFM, mais a les yeux de Chimène sur le fait que c’est Lionel Jospin qui a supprimé les Ecoles normales (la deuxième fois après Pétain) et créé les IUFM, négation de la mission historique des Ecoles normales d’Instituteurs. L’auteur va même, en page 213, qualifier les IUFM d’« authentique institution publique » égale aux Ecoles normales.

L’auteur prétend que la loi Jospin était magnifique et cite, (acte manqué ?), Ferdinand Buisson : « Toutes les fois que l’on prépare une réaction morale et politique, on s’attaque aux instituteurs ». On pourrait appliquer cette citation à toute l’œuvre antilaïque de la Gauche au pouvoir, hier comme aujourd’hui.

Le seul reproche que l’auteur adresse à la Gauche, à nouveau au moment du vote de la loi Carle, c’est la « tiédeur ». En page 184, on peut lire ceci : « Cependant, ce jour-là, les députés socialistes se montrent par moments, d’une étrange tiédeur. Résultat des courses : à l’issue de cette commission à l’Assemblée, le projet est passé, en l’absence d’une opposition résolue. Le PS a donc soutenu au moins implicitement le projet de loi ».

Cette « tiédeur » n’a pas empêché le sénateur socialiste, ancien ministre, Michel Charasse d’être l’initiateur de cette forfaiture antilaïque. Nous faire le coup de la Gauche molle et de la Droite dure, il fallait oser !

De même, l’auteur a une thèse qui permet toutes les audaces : il faudrait en revenir à la loi Debré originelle. Il indique même que Jean-Louis Debré « semble trahir son père ». Après l’épisode de l’article 69 de la loi Falloux en 1993/1994 où la « Gauche politique et syndicale » a manifesté pour la défense de la loi Falloux (Victor Hugo a dû se retourner dans sa tombe), on veut nous faire défendre la loi Debré, qui est la mère de toutes les lois antilaïques, la loi Falloux en étant la grand-mère. Il y en a qui ne manquent pas d’audace, ni d’imagination.

Florilège des contre-vérités par omission

Page 43, l’auteur décrit fort justement la logique antilaïque mise en œuvre par la Ve République. Celle-ci a d’abord rendu « publique » l’école privée pour ensuite rendre « privée » l’Ecole publique. On passe ainsi de « la nationalisation du privé à la privatisation du public ». Fort juste, mais pourquoi ne pas dire que c’est la loi Jospin du 10 juillet 1989 qui a opéré cette mutation ? C’est cette loi qui a imposé le modèle du caractère propre et le fonctionnement de l’enseignement privé catholique à l’enseignement public. Elle a renforcé le rôle des Conseils d’école, survivance de la « mission de surveillance » prévue dans la loi Falloux.

En page 92, on lit que Xavier Darcos, ministre de Nicolas Sarkozy, aura « supprimé 100 000 postes dans l’Education nationale » pour « dégraisser le mammouth ». Le lecteur ne saura jamais que cette expression a été inventée par Claude Allègre, ministre socialiste de Lionel Jospin et visait, non les enseignants, mais le personnel du Ministère. L’auteur poursuit cette fausseté en page 195, où il indique que « dégraisser le mammouth » est l’obsession implacable de Xavier Darcos.

On atteint un sommet de contre-vérités quand l’auteur traite de la modification de l’article 69 de la loi Falloux. Un seul coupable : François Bayrou et le gouvernement de Droite ! Mais le Canard Enchaîné a révélé en son temps, sans jamais être démenti par les intéressés, que la Droite avait trouvé le projet dans les tiroirs de Jack Lang. C’est Majax, la Droite est honnie et la Gauche absoute par la grâce d’Eddy Khaldi ! C’est quand même un peu fort de café.

Bien entendu, on trouvera aussi au fil des pages tous les poncifs habituels de la pensée unique : la description de l’Islam menaçant et conquérant s’inscrit dans la politique du choc des civilisations. L’auteur va même jusqu’à dénoncer le fait qu’il y a « tromperie sur la marchandise » à propos de l’enseignement catholique, qui n’est pas visiblement assez « catholique » à son goût.

En conclusion, cet ouvrage, comme le précédent, a un goût de Canada dry : cela ressemble à la laïcité, mais cela n’en est point. Il vise à nous faire prendre son messie (le PS) pour une lanterne. Et à ce petit jeu, on finit toujours par se brûler.

Herbert Lespînasse

La République contre son école par Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi – Edition Demopolis – 328 pages – 21€

Unité ou division des laïques, il faut choisir Défendre ou accepter la casse de l’École publique, il faut aussi choisir

Le fait que les DDEN, qui se définissent comme amis de l’Ecole publique et défenseurs de la laïcité, même si nous sommes une organisation « semi-officielle » (puisque c’est la DASEN qui nous nomme), n’oblige en rien la direction nationale à prendre fait et cause pour la politique du gouvernement. Les déclarations, les actes et les plans de celui-ci ne sont ni ceux d’un gouvernement laïque, ni favorable à l’enseignement public.

Pour ne prendre que des exemples récents, je citerais : la position favorable à la loi Peillon portant sur les rythmes scolaires ou le positionnement favorable à la « réserve citoyenne » ou au « parcours citoyen« . La loi Peillon a été combattue par une grande majorité d’enseignants et par bon nombre d’élus. Quant à la « réserve citoyenne« , malgré les appels répétés de la part du gouvernement et de ses ministres, on peut parler d’un échec cuisant. Pour ma part, je m’en réjouis. Les enseignants, malgré la confusion délibérément orchestrée par le gouvernement et par d’autres dont ce n’est pas la fonction, ont rapidement perçu la nature de cette « nouveauté« . Il en va de même du « parcours citoyen« .

Nous ne pouvons que constater et déplorer que la direction de la Fédération se subordonne au gouvernement. Les DDEN ne peuvent pas être les supplétifs du gouvernement, partisans de ses actes politiques, et aider à mettre en pratique ses contre-réformes qui, et c’est un mot faible, n’ont rien de favorable à l’Ecole publique laïque.

Unité pour la défense de la loi de 1905
Ne touchez pas à la loi de Séparation !

Tout le monde connaît maintenant, depuis l’intervention d’Emmanuel Macron devant les évêques aux Bernardins et les révélations parues dans la presse et jamais démenties, les intentions du gouvernement. Sous divers prétextes, notamment les contrôles des financements de l’étranger pour l’Islam, Macron s’attaque au fondement même de la loi de 1905. Même s’il prétend ne pas toucher aux articles I et II de la loi, son but reste la modification ou la suppression des deux tiers des articles. Ce n’est pas une modification à la marge, c’est vider la loi de tout son contenu. Reconnaître les cultes, c’est l’inverse de la Séparation, c’est le concordat généralisé. Définir des critères de reconnaissance par l’Etat, c’est ouvrir la voie à une religion officielle ou d’Etat. L’Etat labellisant les cultes acceptables et les autres, ce n’est pas son rôle. Tout le monde comprend que la moindre brèche ou modification de la loi de 1905, le financement des cultes, auraient des conséquences dans tous les domaines, en particulier pour l’Ecole publique laïque et pour toutes les institutions comme la Ligue de l’Enseignement, la Fédération des Œuvres Laïques, comme pour la Fédération Nationale des DDEN elle-même.

Une question se pose : pourquoi chercher à diviser le camp des laïques  au lieu de rassembler ?

Pendant les mois de septembre, octobre, novembre et décembre, une campagne a été menée par plusieurs associations sur un mot d’ordre unificateur : Ne touchez pas à la loi de 1905 ! Les 8 et 9 décembre, ce sont environ 100 rassemblements qui ont eu lieu devant les préfectures, souvent à l’appel de plusieurs associations. Tout en gardant sa liberté, chacun pouvait s’y associer. Comme ce fut le cas pour l’Appel des Laïques signé par l’écrasante majorité des associations laïques… sauf le CNAL et les DDEN.

Que constatons-nous ? Un autre appel a été initié avec 113 « personnalités » (dont, pour certaines, l’action pour la défense de la laïcité n’est pas toujours très probante). Pourquoi cette initiative ? Pourquoi se distinguer en divisant ? Alors que tout le monde peut se rejoindre sur le mot d’ordre « Ne touchez pas à la loi de 1905 !  » pour faire reculer Macron. Ou alors, il faut expliquer que finalement, ce n’est pas si grave et que quelques toilettages seraient acceptables ? La direction des DDEN doit œuvrer à l’unité, pas à l’inverse !

Paul Feldmann

* Dans certains départements, les UDDEN ont pris publiquement position et ont participé aux rassemblements et aux délégations avec la Libre Pensée, la Ligue des Droits de l’Homme, la Ligue de l’Enseignement et les syndicats Force Ouvrière et CGT. Nous portons à votre connaissance l’une de ces déclarations : « La Libre Pensée (…) avait invité tous les défenseurs de la laïcité à manifester devant la préfecture (…) le 8/12/18 pour défendre la loi du 9 décembre 1905, dite loi de séparation des Eglises et de l’Etat. Les diverses déclarations du chef de l’Etat, et les rumeurs de « toilettage » de cette même loi inquiètent au plus haut point tous les partisans de la laïcité et toutes les organisations qui se réclament du même principe.

L’UDDEN (…) était donc présente dans cette manifestation aux côtés de la Libre Pensée et du syndicat F.O. Lors des différentes prises de parole, la ferme volonté de s’opposer vigoureusement à toute tentative de modification de la loi de 1905 a été clairement exprimée. Une délégation composée de 4 personnes a été reçue par le chef de cabinet de la Préfète le 12/12/18. Souhaitons que nous soyons entendus et restons sur nos gardes. »

L’invraisemblable affaire de Vauxrenard (Rhône)

L’affaire dite « de Vauxrenard », du nom de cette commune du Beaujolais de 325 habitants, éclate au grand jour à l’hiver 2018 lorsque le quotidien « Le Progrès » publie sur une page complète un article sous le titre : « Ils ne veulent plus de messe dans le bâtiment de l’école publique. » Continuer la lecture de « L’invraisemblable affaire de Vauxrenard (Rhône) »

Il n’y a pas qu’à Paris que le crime fleurit, … mais quand même un peu

 Pourquoi un Délégué Départemental de l’Éducation Nationale récemment nommé vilipende-t-il les responsables de sa propre Union Locale ?

 Depuis peu nommé, un certain Jean-Pierre Sakoun dénigre les responsables élus de son Union Locale du XVIIIème arrondissement de Paris auprès du Président de la Fédération des Délégués Départementaux de l’Éducation Nationale en des termes qui montrent une volonté de nuire. Les termes diffamatoires utilisés trahissent une basse manœuvre. Eddy Khaldi, Président de la Fédération des Délégués Départementaux de l’Éducation Nationale, l’assure qu’une enquête sera menée. À la suite de cela, dans des termes acrimonieux, Eddy Khaldi menace le Président de l’Union Départementale de Paris.

Le Président de l’Union Départementale de Paris n’approuve pas la politique menée par Eddy Khaldi, laquelle conduit la Fédération des Délégués Départementaux de l’Éducation Nationale vers une subordination à la politique menée par le ministère de l’Éducation Nationale de plus en plus marquée et qui pour ce faire assujettit les Unions Départementales, ce qui déplait.

APPEL DES LAÏQUES – Pour le respect de la laïcité

A l’occasion du 9 décembre 2016, jour anniversaire de la promulgation de la loi de 1905 de Séparation des Églises et de l’État

APPEL DES LAÏQUES
Pour le respect de la laïcité

Pourquoi la FD DDEN n’a pas signé cet appel qui a rassemblé la quasi-totalité du mouvement laïque et syndical ? C’est ce qui a empêché le CNAL de la signer.

C’est une question que personne ne peut éluder. Continuer la lecture de « APPEL DES LAÏQUES – Pour le respect de la laïcité »