Pourquoi ce qui n’était pas possible en 2020 le devient en 2021 !

En Octobre, nous avons appris que certaines Unions pouvaient participer au Congrès par visio-conférence. Il est donc devenu possible d’organiser le congrès en partie en visio conférence !!!

Le faible nombre de délégués inscrits pour Obernai risquait de montrer les limites de la gouvernance actuelle. Il a donc fallu mobiliser plus d’une vingtaine d’ Unions « amies » pour qu’elles participent et votent les différents rapports et qu’elles votent massivement pour les candidats du Président au Conseil Fédéral. Pour faire passer la pilule, Monseigneur Eddy accepte que l’Union d’Ile et Vilaine participe elle aussi par internet.

On peut dès lors légitimement s’interroger sur la non-convocation du Congrès en 2020.

Non-respect des statuts, non-respect du Code de commerce qui indique qu’une association reconnue d’utilité publique a l’obligation de faire approuver ses comptes chaque année, infractions aux statuts qui prévoient le renouvellement du 1/3 du Conseil Fédéral chaque année. Ceux, dont la mission au sein de l’Ecole est de défendre le respect de l’autre, le respect des textes de lois, s’affranchissent de ses valeurs au sein de leur propre Fédération.

Les mesures gouvernementales interdisant ou restreignant les réunions dans des lieux accueillant du public avaient été levées en juin 2020. L’argument de l’épidémie du Covid pour ne pas organiser le congrès et l’élection du tiers du Conseil Fédéral était donc fallacieux.

Il aurait été tout à fait possible, comme cela va se faire à Obernai, de tenir le congrès en une solution mixte, présentiel et visio-conférence. En refusant de le faire la Fédération a commis une faute et le Conseil Fédéral a engagé sa responsabilité.

Indiana Jones, dans A la recherche du Congrès perdu